Pour la première fois, des scientifiques du WSL et de l’EPFL ont montré comment, sur le long terme, les tourbières pourraient ne plus remplir leur rôle d’écosystèmes les plus performants pour capturer le carbone. Ils ont étudié les mécanismes d’un phénomène connu sous le nom d’embroussaillement des tourbières: des interactions complexes entre plantes et microorganismes sont à l’origine de ces changements de végétation observés à l’échelle mondiale. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Climate Change.

Liens: Projet “Climabog” soutenu par le Fonds National Suisse de la Recherche Scientifique