Des moustiques « double mutants », porteurs de deux gènes de résistance aux deux classes d’insecticides les plus utilisées dans le monde, ont été étudiés par des chercheurs du CNRS et de l’IRD.
Ils montrent dans un article publié en ligne dans BioMed Central que ces mutations interagissent et augmentent le taux de survie des moustiques en absence d’insecticide.

Ces travaux devront être pris en compte dans les stratégies de lutte contre les moustiques vecteurs de maladies.

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